Si on entend le mot « salon », beaucoup pensent á des chambres élégants ou conversations intelligentes sur la littérature. Mais, en fait les salons du XVIIe siècle en France est tout autre – et bien plus passionnante.
Les salons étaient des réunions de la haute société, des personnes riches et puissantes de Paris. Souvent, cés réunions étaient organisées par femmes. Ces hôtesses, membres de la haute société et aussi très cultivées et intelligentes, dire qui était invite et de quoi le salon discute. Mais principalement, les discussions ne s’agissaient pas seulement de livres ou poésie.
Ces sessions de salons n’étaient ni tout à faire publique ni tout à fait privées. Elles constituaient un monde à part, une sorte de « société ». Quelqu’un ne pouvait pas participer facilement, mais tout ne restait pas secret non plus.
Mais, il ne s’agissait qu’un passe-temps agréable se trompaient. Dans ce salon il régnait un système strict de codes, de comportement et de hiérarchie. Vivacité d’esprit n’était pas simplement une qualité agréable – c’était une arme. Celui qui la magistrate pouvait gagner en influence.
Devant la révolution, la France du Xvii siècle était strictement contrôle par le roi e sa cour. Louis XIV, aussi connais par le Roi-Soleil, voulait avoir l’entièreté de pouvoirs avec lui. Les nobles et la haute société, qui avaient autrefois beaucoup d’influence, devaient se soumettre au roi. Mais les gens qui ont été de pouvoir un fois, ils ne l’abandonner pas facilement. Ils ont donc cherché de nouveaux moyens d’exercer influence sur la société.
Les salons offraient précisément cette possibilité. La haute société des paris se réunissait dans des maisons privées, apparemment uniquement pour discuter des choses inoffensifs. En réalité, l’Elite commençait des alliances, planifiaient des intrigues. Celui qui était le bienvenu dans un salon important pouvait nouer des liens politiques, répandre des rumeurs ou s’opposer secrètement á la cour royale.
En échangeant sans cesse de nouvelles idées - même si seulement dans l’élite -, des idées ont commencé à circuler qui, plus tard, ont effectivement constitué les bases de changements sociaux profonds. Les idées sur la liberté, la tolérance, le progrès et la critique des autorités - les thèmes qui deviendront plus tard importants dans le siècle des Lumières - y ont fait leurs premiers pas
C’est un mythe que ces salons étaient des lieux démocratiques. Ils vivaient de l’exclusion. Les gens ordinaires étaient exclus. Les opinions critiques devaient être formulées de manière à ne pas aggraver le roi. Il n’était pas question d’une véritable liberté d’expression.
Et pourtant, comparés à la monarchie absolue, dans laquelle le peuple n’avait aucune voix, les salons constituaient une amélioration. Pour la première fois, les questions sociales étaient débattues sans contrôle direct du roi. Bien que le cercle des participants ait été extrêmement limité, le simple fait que la critique des conditions existantes ait trouvé un espace était un pas vers une forme de société ultérieure, plus ouverte. Les salons ont créé une culture du discours qui – même si elle n’était soutenue que par une petite élite – a mis en jeu pour la première fois l’idée de participation politique.
Malgré ces contradictions, il ne faut pas oublier que les salons ont commence une nouvelle forme de l’échange social. Pour la première fois, on discutait, on argumentait et - même si avec de caution, on se contradictait. L’idée que le pouvoir pouvait être s’acquérir par la discussion et conversation et pas seulement par la naissance ou la violence commence ici. Même si la démocratie était encore loin, les salons posaient les bases d’une société dans laquelle les mots commencaient à être plus importants que le nom de famille.
Certaines des idées soigneusement formulées dans les salons ont survécu à leur contexte d’origine restreint. Elles ont été reprises, diffusées et affinées par des penseurs plus radicaux des Lumières. Au final, ces idées ont contribué à renverser le système dont les salons avaient toujours défendu les valeurs.
En bref, les salons littéraires du XVIIe siècle n’étaient pas des oasis de liberté, mais des lieux de rencontre soigneusement contrôlés pour les classes supérieures de la société. Mais ce sont précisément ces cercles d’élite qui – bien que sans le vouloir – ont semé les graines d’une révolution qu’ils n’ont eux-mêmes jamais voulue.
Sources: The World of Salons, Antoine Litti, 2020, Oxford University Press https://www.universalis.fr/encyclopedie/salons-litteraires/ https://www.universalis.fr/encyclopedie/salons-litteraires/5-politique-et-mondanite/ https://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/salons_litt%C3%A9raires/89813
J’utilse Word Autocorrecteur et un peu de DeepL pour écriver ce blog.